Brusquement pendant ce mois sacré de Ramadan, à l'abri de la chaleur insupportable de ce mois d'aout 2012, sur mon canapé, je me remémore subitement certains instants passés comme enseignant face à mes élèves à l'Université de Annaba . Moments intenses et pleins de bonheur. Dès 1983 et mon retour du service militaire, je n'ai cessé d'être présent et disponible, que ce soit à la faculté de pharmacie, celle des sciences exactes, celle des ingénieurs, en chimie et ailleurs. Pendant ces trente ans, je n'ai connu que du bonheur et la satisfaction du travail bien accompli selon les moyens qui me sont offerts. Aujourdh'hui je suis déçu par la dégradation dont est atteinte cette institution qui agonise à vu d'oeil et qui brille par sa médiocrité, sa gestion anarchique et obsolète, son désordre, et son laisser-aller. La déliquescence à atteint des niveaux insoupsonnables à tout les nouveaux : que ce soit au niveau des structures que des utilités; bâtiment hors normes, électricité défaillante et mal faite alimentation et installations d'eau mal faite...etc. Ce n'était pas le cas auparavant, c'est à dire il y à trente ans. C'est l'héritage qu'on va laisser à nos enfants.
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