Comme chaque année, à pareil période, comme si on voulait que ce soit ainsi: les pannes d'électricité se succèdent et se ressemblent à l 'Université.
La période choisie: celle de fin d'année avec sa cohorte d'examens et de soutenance de mémoires de fin d'études. L'image est saisissante: on dirait une arrivée d'étape cycliste sans chrono avec le désordre instauré comme mode de gestion en prime.
Cette période de fortes chaleurs pointe du doigt les bric à brac des installations électriques et les négligences dans la maintenance de ces installations. Notamment les transformateurs qui en surchauffant entraînent des pannes répétées.
Après la voirie avec ses égouts à ciel ouvert un peu partout dans les cités. Le rationnement de l'eau, le téléphone qui est plus souvent en panne que fonctionnel et maintenant l'électricité. On ne que constater que tout ce qui dépend de la compétence et de la volonté des hommes dans ce pays ne marche pas. Un signe qui n'augure rien de bon pour l'avenir.
jeudi 28 juin 2012
Annaba chandelles Université
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