Ca y est. j’y suis. Ce que je craignais arriva: Alger est classée 138eme ville où il fait bon vivre, juste avant Harare capitale du Zimbabwe . L’avant dernière. Un record atteint grâce à la compétence de nos gouvernants. Mugabe à Harare et Bouteflika à Alger. Algérie capitale Alger, Alger la Blanche qui était chantée par les poètes est devenue: Alger la sale avec ses rues crasseuses, ses odeurs d’égouts et sa pollution.
Alger est moche, autrefois ouverte et accueillante elle est devenue une ville où l’on étouffe, où on transpire même en hiver.
Ma dernière visite date à peine d’une semaine: un vrai parcours du combattant. De l’aéroport au centre d’Alger distant à peine de quelques kilomètres on a mis plus d’une heure et pénétré une ville repoussante et pervertie par son nouvel urbanisme et ses couleurs de mauvais goût, ses points de contrôle de police et ses embouteillages interminables. On a l’impression de pénétrer un labyrinthe sans issus. Pour prendre un taxi, il faut prendre son mal en patience et attendre. Attendre le temps qu’il faut. C’est à dire au moins une heure. Parfois moins, parfois plus: au hasard. On vit au hasard a Alger. A peine ma course terminée que j’avais envie de repartir avec la peur au ventre, car on z toujours la peut au ventre à ALGER: La peur de passer des heures dans les embouteillages, puis des heures à attendre à l’aéroport un avion qui n’est jamais à l’heure . On vit comme cela à Alger et partout an Algérie.