Visite à Médine et Mecca

Demain sera un autre jour. Demain, je revisiterais Medine et la Mecque pour la deuxième fois, un voyage ordinaire pour moi. J'irai faire un peu de tourisme à Médine puis j'irai à la mecque faire une omra.  Que Dieu bénisse tous les musulmans.  

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La dictature au réel

C'est parti. Tout le monde s'y met. Aujourd'hui, on nous apprends que nos enfants dans les écoles vont être utilisés pour nous sensibiliser à accomplir notre devoir électorale. Pour ce faire dans chaque classe les enseignants sont tenus a organiser des pièces de théâtre (Masrahiat), des débats (nadaouat) où sont invités les parents  qui sont pour moitié: eux et leurs enfants des chômeurs ou ayant un un membre de le famille harrag. Voila, rien que cela. Après Ghoulam Allah, notre ministre des affaires religieuses -qui n'a rien de religieux- qui à travers ses prêches téléguidés du vendredi( il aurait mieux fait de placer des écrans de télévision)  demande aux citoyens, d'aller accomplir leur soi-disant "devoir électorale". C'est au tour de ce qui reste de l'éducation et son  éternel  ministre comme veut être son président, de se plier à  la volonté de son maître. Chacun fait de son mieux: le meilleur croit peut être qu'il sera  le mieux récompensé; C'est la course à la Chitta . Voila à chaque jour son lot de malheur: Après la décennie noir, la décennie rouge, puis la décennie de la harga, la prochaine sera la décennie de la mort ... de l'Algérie.    

Les lâches

Ils sont partout les lâches. Là où je travaille , ils  sont monnaie courante. Ils ne râte jamais - à chaque fois-  de venir te voir quand ils ont besoin de toi et  te faire la courbette, de parler de celui ci et de celle  là, de te "conseiller"  sur tel sujet ...etc.  Et puis tout un coup tu  entends plus parler d'eux, comme par enchantement. Ce sont des chiens: ils aboient avec la meute dés que tu as le dos tourné. Pour un simple Professeur d'Université en Algérie ils sont comme ça. Que dire du Président de la République. Il doit être entouré que de lâches, de courtisans et de léches bottes. Ils est entouré d'une assemblée de guignols,  et de moins que rien. J'arrive pas à saisir la psychologie de nos responsables, notamment le premier d'entre eux pour accepter une situation pareille; sauf s'il fait partie lui aussi de cette race de minables.

Culte de la personnalité

Cela fait bientôt une année que j'ai pas "blogger". Aujourd'hui, j'aimerais bien parler de l'etat du pays avec le glissement inexorable de la socièté vers le culte de la personnalité et l'Algérie vers  la dictature et son cortége de malheur. 

Nous vivons des moments très durs: avec comme décor un Bouteflika qui sillonne le pays en distribuant -comme un simple chef de tribu- de l'argent à tort et à travers comme d'habitude . Un ministre des affaires religieuses qui me rappelle nos Talleb de l'époque coloniale: trés bien illustré dans le film"Noua" de Abdelaziz Tolba , tellement ses déclarations sont rétrogrades et mesquines: comme  "Ne pas voter est Kofr", "Que reste t'il à l'Etat s' il n'utilise pas la mosquée et l'école pour faire sa propagande"; Un Zerhouni qui menace les abtentionnistes et une cohorte de  partisans -pardon de courtisans-  qui approuvent.

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