Débâcle annoncée

Chers parents, excuser moi si je vous ait fait du mal, j'ai voulu partir chercher ailleurs une vie meilleur que je n'ai pas trouvé dans mon pays. Ce message audio retrouvée sur le portable du cadavre d'un jeune Harrag habitant la zone industrielle d'Arzew: une des région les plus riche du pays, résume a lui seul la débâcle d'un système et la lourde responsabilité des hommes qui l'on créé, porté et défendu à travers des institutions obsolètes, avec une schizophrènie à vouloir croire à tout prix à la justesse d'un régime qui au final était porteur et générateur d'injustice et de désordre. Sinon comment expliquer l'apparition, puis la pérennité du terrorisme , du chômage , le manque de logement chronique, une corruption ostentatoire et généralisée couplée d'une bureaucratie voulue, entretenue et oppressante bref une faouda permanente installée dans un pays aussi riche que l'Algérie. Invoquer et inventer toutes sortes de raisons pour justifier le choix de certains concepts oú pour les excuser relève de l'escroquerie, du mépris et de la diversion. La genèse de ce système qui réside dans l'apparition des mouvements de libérations des peuples du joug colonial en toile de fond de l'émergence d'idéologies progressistes au 20 siècles avec la notion de légitimité révolutionnaire instaurée pour accompagné la lutte des peuples à acquérir oú retrouver leur indépendance à partir de l'idée que le peuple ne peut exercer sa légitimité à travers les urnes pour décider de son destin; à été ensuite utilisée pour prolonger la confiscation du pouvoir par le groupe ou le clan le plus puissant à travers divers artifices: parti unique, conseil de la révolution et la conviction qu'ils sont les seuls à conduire les masses populaires vers le bonheur: malgré eux. On connait la suite. La négation du bon sens au profit de certains dogmes idéologiques éculés a conduit le pays vers une quasi faillite. Cette politique à conduit le pays vers une impasse: ou ses dirigeants n'arrivent plus à gérer les affaires courantes. Aujourd'hui on est en face d'un malade au stade final, qui ne lui reste ni le gout ni l'espoir pour vivre hz

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